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    Je pleure cet amour des jours lointains

     

    Je pleure cet amour des jours lointains

     

    Les jours passent sur le parcours des heures

    Et le vent tourne autour de sa rivière bleue.

    Sur les flots, ne voguent plus que mes leurres

    L’espoir m’a quitté, dans mon cœur, il pleut.

     

    La pluie tambourine au fond de mes yeux

    Mais ne s’écoulent plus les ruisseaux d’eau

    Sur mes joues, les larmes fuient les adieux

    J’ai l’âme vide, demain mourront mes maux.

     

    Il ne saura pas que mon espoir s’est brisé

    Que plus aucune lueur n’éveillera son ombre.

    La nuit est pleine d’étoiles dans la voie lactée

    Mais je me suis perdue dans sa pénombre.

     

    Son silence s’étend sur la nappe des océans

    Et mon désespoir m’emprisonne dans l’oubli

    Je n’aspire plus à me blottir en son céans

    Vois je suis morte, ce soir me quittera ma vie

    ©Janedeau

    Je pleure cet amour des jours lointains

     

    Mes autres eklablog:

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    Aux rives de ton amour

     

    Aux rives de ton amour

     

    Aux rives de ton amour, j’ai appris la douceur des vents

    J’ai appris à écrire sous les voiles balancées des heures

    Des refrains hivernals imprimés à ton nom ô mon amant

    J’ai appris à chercher en ton âme, des faisceaux de lueurs.

     

    J’ai appris le chant des étoiles à la lumière de tes yeux,

    Aux rives de ton âme, le langage des chuchotis des mirages

    La noirceur des ombres de ton âme me parle de tes désirs envieux

    Les courroies du temps enrubannent les embruns de ton image.

     

    Aux rives de ton amour, je me prélasse sur ton île sauvage

    Il n’y a que toi pour faire venir le soleil sur mes épaules.

    Mais ta voix éteinte, ne dis rien, le silence fait naufrage

    Sur les sables blonds emporté par l’azur et seule, je chevauche.

     

    Aux rives de ton amour, j’ai appris à écrire la solitude

    Sur des feuillets de ciel que le vent disperse du sud au nord

    J’ai trouvé refuge en ton pays, avec au fond des mains, la certitude

     D’étreindre les vagues de ta rivière bleue qui t’honore

    ©Janedeau

     

     

     


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    Le bonheur est entre mes mains

     

    Quand j’imagine tes bras autour de ma taille

    Le bonheur se prélasse dans mes mains

    Il y a aussi dans mes yeux, des sourires d’étoiles

    La douceur de tous les matins réveille les étés

    Blottis sur mon corps qui réclame tes ardeurs.

     

    Sur les rivages de ta rivière bleue, je t’attends,

    Les oiseaux s’enfuient dans les couloirs du ciel

    Faisant jaillir sur les flots, les vagues du désir.

    Ô fils du vent, le temps qui passe se souvient

    Vois, dans la mêlée des cœurs, je t’aime encore.

     

    Corps d’homme, ô prairie de menthes sauvages

    Mousse des bois, tu es le refuge de mes délices.

    J’aime à me perdre dans l’ivresse de ta fontaine

    Quand tes baisers étanchent ma soif éternelle de toi.

    Ô fils du vent, ô ma rivière bleue, tu es mon errance.

    ©Janedeau

     


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     Mon bel amour de Rivière bleu

     

    Mon bel amour de Rivière bleue

     

    Quand se couche le soleil sur les flots d'ors

    Mon cœur ivre touche ton rêve d'été

    Ta peau sous mes doigts soulève des désirs

    Que seul le vent des frissons bénit.

     

    Je t'aime mon bel amour de rivière bleu.

    ©Janedeau


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    Mes paumes sur l’ardeur de tes voluptés

     

     

     

    Je n’ai pas oublié en tes yeux, l’éveil des soleils levant

     

    Les odes du matin chantent encore au fond de mon cœur

     

    Des refrains d’étoiles telles des complaintes qui se meurent.

     

     

     

    Sans toi, le jours traînent ses pas dans les prés de l’absence.

     

    Et ton ombre sous les joncs sommeille sous de faux mirages

     

    Chaque nuit, je rêve de toi et je meurs toujours un peu plus.

     

     

     

    Quand viendras-tu déposer sur la tombe de mon âme

     

    Des bouquets de baisers, quand te prêteras-tu enfin au jeu

     

    De mes paumes qui soulèveront l’ardeur de tes voluptés.

    ©Janedeau

     

    Mes paumes sur l'ardeur de tes voluptés


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