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    Bercée d'illusions

    C'était hier, j'avais rêvé si beau rêve

    Toi et moi, des étoiles dans les yeux.

    Du soleil sur tes épaules

    Où j'aimais y poser ma tête.

    C'était hier dans mes rêves fous

    Dans des rêves impossibles

    Toi, tu voyageais dans le mensonge

    Et moi dans la naïveté

    Toi tu voulais la popularité

    Et moi, la simplicité, passer inaperçu

    Bercée d'illusions, je n'ai rien vu

    Je n'ai pas vu ton petit manège

    Que de silence au creux de ma souffrance

    Que de déceptions dans mon innocence

    Depuis, je ne rêve plus, n'écris plus

    Et ne voyage plus sur les flots de l'errance

    ©Janedeau


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    Ce qui reste de toi

     

    Ce qui reste de toi

     

     

     

    Ce qui reste de toi, c’est ce même ciel bleu

     

    Couvert de pleurs et de tourments

     

    C’est ce soleil éteint qui efface les espoirs

     

    Et qui embrume toujours la raison

     

     

     

    C’est ses griseries étoilées d’autrefois

     

    Enfilées sur les mailles d’un chapelet du temps

     

    Qui portent désormais la voie des orages

     

    Et mes naufrages du cœur

     

     

     

    Tes mots mensongers qui promettaient

     

    Tant de beaux jours remplis de soleils

     

    D’une vie à deux dans un cadre idyllique

     

    N’étaient nul autre que souffle de vent.

     

     

     

    Le vent passe sans qu’on le voit ni le touche

     

    Il ne porte qu’un monde  d’ombres

     

    Le vent c’est ce qui me reste de toi

     

    Un souvenir qui s’éloigne et qui disparaît.

    ©Janedeau

     

     


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    Garde-moi dans tes bras

     

    Garde-moi dans tes bras

     

    La corolle des fleurs connait la douceur de tes paumes

    Ô mon troubadour, mon tentateur toi que je contemple

    Toi qui ne me vois pas, appuyé au seuil de tes nuits

    Les tourterelles me chantent sans cesse les accords de ta voix.

     

    Dès que le jour s’achève, tu es le doux vent de mes désirs.

    Tu es le rêve qui me garde au bord de tes naufrages

    Tu es pour moi, un supplice de renoncer à l’offre de tes baisers.

    Car my darlyng , nous ne sommes pas encore mariés.

     

    Ô je veux pleinement t’appartenir, boire les soleils sur tes lèvres

    M’enivrer du bon vin de tes langueurs, m’endormir dans tes bras.

    Je veux puiser le souffle de tes silences, boire chacun de tes mots

    Je veux faire naitre des navires d’étoiles au fond de tes yeux.

     

    Quand tu chantes pour moi, ton âme a des tendresses de rosée

    Je perçois dans le lointain des paysages,  l’azur d’un radieux avenir.

    Délivre-moi de ses odes de songes qui me retiennent dans les rêves.

    Embrasse-moi, effeuille nos cœurs pour ne faire qu’une seule chair.

    ©Janedeau


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    Tu dors dans mes rêves

     

    Tu somnoles parmi les strophes du soir.

    Et mon cœur dans la forêt des bocages

    Chavire sous la beauté de tes sourires.

    En fermant les yeux, j’ai envie de t’aimer.

     

    Les quatrains des alizés sourds à mes appels

    Caressaient tes cheveux à la brune du soir

    Les roses aux parfums entêtant m’enivraient.

    La lune sous le couvert, rêvait de notre amour.

     

    Plus de mille fois, j’ai accosté aux rades du désir

    Pour ceindre entre mes bras, l’accord de tes soupirs,

    Vois mon amour, je veux boire ton soleil à mes lèvres

    Ô ce soir, je pleure de ne pas t’avoir connu plus tôt.

    ©Janedeau

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    Feuillets d’étoiles

     

    Le ciel illuminé ce soir, brille comme un diamant

    Je vois dans tes yeux baigner des feuillets d’étoiles.

    Les mots que j’y lis portent la fraicheur des brises.

    La nuit qui viendra bientôt bercera la vague de mes rêves.

     

    Je regarderai dans le lointain l’horizon de tes yeux

    Pour voir la promesse des beaux jours passés avec toi

    Je croiserai les routes qui mènent à tes langueurs

    Ô mon amour tu es semblable à ce papillon enchanteur.

     

    Tu es pareille à la clarté du matin qui m’éveille

    Au bord de la borde de ton rêve qui m’habite

    Jamais n’a été plus belle la nuit au fond de tes bras

    Et ses feuillets d’étoiles portant l’éclosion de ta douceur.

    ©Janedeau

     


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