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Au loin s’éteignent les néons
 
Au loin s'éteignent les néons de mon cœur
La brume efface tes pas dans le jour qui se lève
Sous un millier de roses qui remplissent  le ciel
De mes rêves fous quittant l'onde des amours.
 
Je croyais rêver de retrouvailles d'éternité,
Je croyais avancer dans le soleil de tes yeux
Je comptais les étoiles perdues de tes rêves
Pour t'y voir et accoster au port de tes nuits.
 
C'était la nuit dans la lumière de tes yeux
Et le jour dans le silence de tes rêves.
C'était ton âme qui habitait mon cœur,
C'était toi qui ne voyais pas que je t'aimais
Janedeau